La Déprime pré-partum (jamais contentes les nanas…)

La grossesse désirée : doit on être heureuse pour autant ?

Même si j’ai toujours dis que je n’en voulais pas, car c’est tellement plus facile que de se justifier tout le temps auprès de tout le monde quand on n’a pas d’enfant à l’approche de la quarantaine, au fond de moi, je voulais quand même un enfant. Parce que c’est comme ça qu’on vous dit, depuis tout petit que la vie est, parce que c’est dans « l’ordre des choses », parce que quand on a trouvé sa moitié, il est normal d’envisager de devenir au moins 3.

Ce qu’on ne m’avait pas dit, c’est qu’on pouvait aussi mal le vivre moralement…

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Le premier jour, tu fais le test (et là déjà, panique à bord, j’ai bien compris la signification du trait là ou pas ? Yannnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn !!!! Viens voir je comprends rien alors que j’ai la notice sous les yeux et que je ne suis pourtant pas blonde !!)

Bon, ok, j’avais bien compris, mais je faisais l’autruche (façon de parler, parce que pour ceux qui ont lu le récit de l’annonce au papa (), heureusement que je ne l’ai pas faite physiquement !).

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Et on file faire une prise de sang, et on reçoit les résultats, et on confirme au papa dans la voiture pendant qu’il conduit (hyper prudent…..), que oui il va être papa, et qu’on est enceinte de 15 jours (pourquoi ça n’est pas prudent…parce que le papa te regarde d’un air béat avec les yeux embués…pour la conduite il y a mieux…)

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Donc le 1er jour : c’est je vais bien tout va bien dans le meilleur des mondes….

Et arrive le lendemain, samedi et là commence la spirale infernale, la prise de tête façon Candy crush grandeur nature et les premières interrogations, suivies des premières réponses hyper hormonalement subjectives et fausses :
– financièrement on ne va pas y arriver
– une nounou ça coûte un smic (non je n’exagère jamais quand je pars en cacahouète)
– On va tellement pas s’en sortir qu’on va nous saisir la maison (si si vous lisez bien, je peux aller très loin)
Et là, c’est l’horreur, je traine sur le canapé, du samedi soir au dimanche, pleurant toutes les larmes de mon corps, comme si la misère du monde m’était tombée sur la tronche.

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C’est ce qu’on appelle une dépression pré-partum…

Une quoi ?

Ben si, ça existe.

Je traine sur les forums, voir s’il n’y a que moi qui me sens aussi mal, si c’est normal…et rien.

Une grossesse c’est sensé être le grand bonheur, le futur idéal, tout va bien dans le meilleur des mondes, je trouve même des échanges de conversations où certaines nanas en engueulent d’autres parce qu’elles devraient être heureuses….pfffff

Donc non, je le dis, à celles qui lisent ça, qui l’ont connue ou non, ça arrive et c’est « normal ». Il ne doit pas y avoir de culpabilité.

2-3 copines ont fini par lâcher le morceau et à me dire que ce que je ressentais était légitime et d’un coup tout s’apaise….si, on est normale, si on a le droit de paniquer, c’est légitime (et je dirais que plus on avance en âge, pire c’est).

On a le droit, car c’est un chamboulement complet de ta vie, de tes hormones, de tes habitudes, des habitudes du couple, du budget, tout est remis en question.

Par contre, gaffe à vous….pour moi le reste de la grossesse a été mieux vécu, mais le retour de bâton après la naissance de Puce a été sévère de chez sévère.

J’ai d’ailleurs lu que la déprime pré-partum entrainait souvent une jolie post-partum, je ne sais pas si c’est vrai mais mois je l’ai prise en pleine tronche.

Heureusement que le conjoint et les amies sont là (je n’ai pas mis la famille délibérément, car chez nous, on ne déprime pas, ça n’existe pas, donc on le cache, et du coup on a du mal à en finir).

Et heureusement aussi qu’un jour on se met un coup de pied au cul, pour profiter enfin pleinement de ce joli cadeau que la nature a bien voulu nous donner.

J’aimerais avoir vos avis, ressentis, en anonyme ou pas (même s’il n’y a pas de honte).

Koikachangé depuis que je suis maman ???

 

La maternité, c’est pas une mince affaire, ce n’est pas parce qu’on donne la vie, qu’on nait mère instantanément. Certaines mettront plusieurs semaines, plusieurs mois avant de se sentir vraiment mère à part entière.

Néanmoins, ça change beaucoup de choses dans la vie

– j’ai moins de temps, mais j’en trouve quand même

– je peux me taper des barres de rire rien qu’à la regarder faire des grimaces ou singer nos gestes

– Je peux chialer pour un oui pour un non rien qu’à la regarder faire des grimaces ou singer nos gestes…

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– j’ai des mini-élastiques qui trainent autour de mon pouce, dans mon (mes) sacs à bordel main (par contre y’en a de moins en moins dans sa boîte à barrettes, va comprendre…)

– Je suis plus patiente (enfin avec mon boutchou)

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– Mais aussi plus stressée (beaucoup plus ! de peur de mal faire)

– Je suis devenue extrêmement parano

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– Je suis devenue responsable (euh enfin je crois)

– Y’a du rose à la maison (c’est la Barbie qui sommeille en moi sûrement), même Kiki est rose.

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– Je me rends compte que je ne connais plus aucune comptine (j’ai même perdu la moitié de Frère Jacques l’autre jour, il a fallu yaourté).

– Mais par contre elles me restent bien dans la tête une fois que le cd a tourné 3 fois de suite (« petit escargot, petit escarg….arghhhhhhhhhhhhhhh »)

– Je fais partie de la secte « c’est la mienne la plus belle »…

– Il m’arrive de parler neuneu et/ou cucul la praline

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– J’ai envie de tout lui acheter alors que je suis une vraie radine (je m’auto-tempère en me disant qu’il y a bien assez de bordel comme ça).

– J’apprends à revêtir instantanément une combinaison de spationaute quand elle éternue la bouche pleine de purée ou compote et/ou je deviens maître de l’esquive !

– J’arrête de dire des gros mots (ah euh non pas vrai mais il faudrait !)

– Je supporte tant bien que mal le milliard de jouets qui font de la musique (je ne savais pas que quand on avait un enfant, la prime CAF c’était pour le budget piles !).

– Je fais mes courses, quasi qu’au drive (parce que déjà ça me gavait moi, alors avec un bébé !)

– J’apprends à faire des palmiers avec ses cheveux (oui parce que les couettes symétriques, c’est pas encore ça).

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– J’apprends que le ridicule ne tue pas mais qu’elle ça l’a fait bien rire

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– Je m’intéresse un peu plus au bio.

– J’ai perdu la moitié de mon audition (Puce détient le record du monde du cri le plus perçant).

– Je bénis le savon d’Alep, un des rares produits (sains) qui enlève les taches de bouse (et de bouffe).

– Je mets une heure à étendre son linge (ben ouais que de la petite pièce…)

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– J’ai découvert aussi qu’il n’y a pas que les chaussettes d’adultes qui finissent par divorcer

– Avant je prenais 1 milliard de photos à l’année, maintenant 10 fois plus…

Bref, faites comme moi, devenez maman (mais bon y’a bien pire comme métier ! 😉 )

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Et vous ça a changé quoi ?

Des anecdotes à la con ?

(non ça n’est pas un gros mot mais une expression usuelle, na !)

Les bonheurs de la grossesse (mais si c’est magique qu’on vous dit !)

LES BONHEURS DE LA GROSSESSE

Tout il est rose, tout il est mignon, mouais….

Jeune future primipare, attention, y’a du spoiler, ne lis pas ça au risque d’être traumatisée.

 

 

Moi, perso, j’ai vécu « la grossesse moyenne », à savoir que j’ai eu la plupart des symptômes dits basiques dont tous les magazines vous parlent (sauf qu’ils embellissent un peu la chose quoi). Moi je vous raconte ça pour de vrai…gnark gnark

Les bonheurs de la grossesse (mais si c'est magique qu'on vous dit !)

 

 

Et attention, je vends du rêve  !!!!

 

 

Burppppp….

  • Ah ben oui, THE symptôme classique par excellence, la gerbouille de grossesse, particulièrement virulente chez moi pendant le brossage de dent, je vous peins le tableau : Brossage de gent / envie de gerber à cause du dentifrice / gerbouille / d’où rebrossage de dents et ainsi de suite 3-4 fois le matin, quand on n’a pas le temps c’est folklo

  • Le « jme lève toutes les nuits pour aller aux toilettes », la tête dans le cul, les yeux mi-clos, tout en essayant de ne pas se manger le mur de la salle de bains, Koh lanta à côté, c’est du pipi de chat.

  • La sympathique poussée d’acnée due aux hormones : ou comment avoir une tronche d’ado à l’aube de tes 40 ans

  •  La carte routière sur la poitrine, si si, en bleu là, c’ est l’autoroute, d’ailleurs ce n’est plus une poitrine, il faut vite aller en magasin pour cétacé (dit la baleine…comprendront qui voudra), afin de trouver sa nouvelle taille, le 200Z

  • Le pet dit « foireux », incontrôlable, et qui ferait passer Tchernobyl pour un champ de rose sarcastic

  • Les brûlures d’estomac : pas de pâtes, de tomates, de produits acides, de…bref t’as plus droit à rien sous peine d’avoir des brulûres, qui t’arrachent tellement les boyaux, qu’elles te vrillent à l’arrière du crâne (et là tout de suite, je donne de plus en plus envie…comment je vais te faire baisser la natalité en France…). Heureusement il y a ZE secret pour ne pas les avoir en dormant : dormir sur le côté gauche (hé ouais !! Par contre, on me confirme, tjours pas de recette pour le pet foireux no).

  •  La digestion en 99 étapes, ou comment ce que vous avez ingurgité à 12h00 n’a pas bougé d’1cm, 2h après (ce qui explique d’ailleurs l’étape Tchernobyl de la digestion).

  • Le côté « baleine échouée » quand la grossesse est bien avancée et qu’on tente de se retourner dans son lit….j’aurais voulu un treuil à ce moment là ! Car faut juste te retourner en 15 étapes…

  • La sympathique impression de ressembler à une gourde géante, et oui, tu as cette sensation que chaque goutte d’eau que tu avales, se stocke dans ton corps, jusqu’à ce qu’il explose…à 4 mois j’avais les pieds de shreck, avec 5 knackis balls en guise de doigts de pied.

  •  D’ailleurs, oublies tes chaussures, tu ne rentres plus dedans (et d’ailleurs tu n’es pas sûre de rentrer dedans après), et là, moi je dis qu’il vaut mieux une grossesse d’été pour tes pauvres pieds (enfin saucisses géantes).

  • Et alors oublies rapidement : l’épilation maison, le laçage de shoes, les chaussures compliquées à mettre, le vernis aux ongles de pieds

  • Le : « Je chouine pour un oui pour un non » même sur le truc le plus con de la terre, ce qui fait que ton mec te regarde d’un air ahuri, et explose de rire en se foutant de toi (si, si)

  • Le corps débordant d’énergie ou comment se trainer au taf avec un petit 9 de tension, une limace aurait bossé plus vite que moi ces jours là.

 

 

A la la quel bonheur !!!

Les bonheurs de la grossesse (mais si c'est magique qu'on vous dit !)

 

 

Bon je dresse un tableau peu flatteur mais réaliste de ce qu’on ne dit pas parce que ça n’est pas glamour et qu’on dit toujours que c’est « beau une femme enceinte », ben oui ça donne la vie….mais dites vous bien, vous les papas, que dorénavant,

 

Vous ne pourrez pas dire que vous ne savez pas pourquoi on est casse-bonbon pendant 9 mois !

 

Les bonheurs de la grossesse (mais si c'est magique qu'on vous dit !)

 

A vos claviers, je veux des anecdotes !

La péridurale (ou comment s’auto-contredire en beauté)

Ahhhh, la péridurale !!!!

 

2 choses m’ont inspirées cet article : un post d’hier de la marque MAM sur leur mur facebook et le fait que 3 copines soient enceintes (dont une qui accouche ces jours ci).

 

La péri, avec ou sans ?

La péridurale (ou comment s'auto-contredire en beauté).

 

Moi j’ai toujours mais alors toujours dis que je n’en voudrais pas. Déjà parce que je pensais que c’était DANS la moëlle épinière (mais bon sang à quoi sert ce merveilleux – gnark gnark- forum Doctissimo ?) et puis parce que pour le peu d’anesthésie que j’ai eu dans la vie, ça ne marchait jamais, il me fallait triple dose.

 

Mais pas du tout pour le côté naturel, rien à battre du côté naturel (même si on le voudrait toutes au fond de nous….m’enfin sans la douleur einh !!!).

  

02h30 : premières contractions…jusqu’ici tout va bien

04h30 : contractions régulières, je sors du bain, spasfon pris, ça commence à faire mal un peu, mais ça reste correct, le chéri, visage enfariné « je prends ma douche là, faut y aller ? », euh oui oui.

05h30 : suis aux urgences de la mat., là, ça commence à faire mal, on m’installe pour voir si on m’admet, je dois aller aux toilettes, mais euh, comment fait-on pour faire pipi ET avoir une contraction ?

05h45 : non bêtasse, ton col n’est pas plus ouvert que ça (ah mais argheu tu te fous de ma gueule ?)

06h00 : Lui : « Je vous installe au monito, si c’est bon, on vous donnera de la morphine en attendant. Mais vous n’avez pas fais vos cours de prépa, vous ne savez pas respirer ? »

Moi : (petit con, j’aimerais t’y voir, vas-y toi aussi, fais toi arracher les tripes par un T-REX !) : « Si si pourtant » (sous-entendu « je vais te buter »…toujours zen une femme qui accouche).

La péridurale (ou comment s'auto-contredire en beauté).                                                                                                                                                                                                     

Et vas-y qu’il me colle le masque de gaz hilarant qui ne m’a pas fait rire du tout d’abord.

Et s’ensuivent les minutes les plus longues de ta vie avec, comme principales occupations : respirer, souffler, t’empêcher de pleurer pour que ton mec voit comment t’es forte, souffrir assez pour qu’il te soit éternellement reconnaissant de ce que tu fais pour lui (enfin il l’est la 1ère semaine lol, après il a oublié), gémir, souffler, souffler, souffrir et là, mon esprit n’a été traversé que par 2 pensées :

  • Mais comment qu’elles font les femmes en Afrique ou en Inde (oui parce qu’on ne sait plus respirer, ni parler correctement, le cerveau se liquéfie avec la douleur, lentement mais sûrement yes)
  • Mais comment elles ont fait pour en avoir un 2ème et un 3ème nos mères ? La douleur du premier ne leur a pas suffit ? Elles sont masos ou quoi ?

Tout le monde m’a dit : tu oublieras la douleur (mon c.. euh œil ouais !!!).

8h00 : environ : le même mec revient, et me dit «  ah vous êtes à 3, on va vous faire la péridurale » et il t’emmène en chambre d’accouchement, en te tenant par le bras pendant que tu te tords de douleur parce que t’en as une grosse qui arrive, tout en gerbant à cause du masque à gaz, et tout ça, le cul à moitié à l’air dans les couloirs sarcastic

 

 

Et moi intérieurement : OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !

 

Moralité : je n’ai aucune volonté, mais alors aucune et pourtant, on ne peut pas dire que j’ai souffert bien longtemps !!!!!!

12h00 : Pourquoi j’ai cette impression d’avoir bouffé du space cake ? Youhou, je suis stone, oh c’est marrant comme quand je touche ma cuisse, je ne sens rien (si si ma puce, va falloir sortir, ta mère n’est que temporairement défoncée !).

La péridurale (ou comment s'auto-contredire en beauté).

 

 

Bref, je ne regrette pas du tout !!! Mais j’applaudis celles qui le font sans, surtout par conviction !

 

Et vous ? Avec, sans ? par choix ? conviction ? pas le temps ?

En faire un 2ème (ou pas ?)

Et là, vous vous dites, comment ça en faire un 2ème, elle a déjà attendu 38 ans pour le 1er et elle parle déjà du 2ème ?

Elle a à peine vêlé et paf, elle veut remettre ça ?

 

Hop hop hop là, non non je vous stoppe tout de suite dans votre lecture !

 

En fait cet article m’a plutôt été inspiré par toutes les réflexions de mon entourage (d’ailleurs souvent de personnes plus âgées et surtout plus en âge de procréer) :

 

BON BEN MAINTENANT VA FALLOIR FAIRE LE 2EME ?!!!!

Quoi ?

 

En faire un 2ème (ou pas ?)

 

Mais ça va pas bien non ? Pourquoi je devrais absolument coller le 2ème au premier, supporter la grossesse (même si ma 1ère a été facile) avec les sollicitudes d’un premier, et surtout comment on fait pour aborder une 2ème grossesse sereine quand on a pas encore réglé le côté psychologique de la 1ère (ou comment continuer à déprimer 10 mois après l’accouchement, je pourrais en écrire un bouquin).

Mais en fait, la question n’est même pas là, la bonne question c’est : est-ce que d’abord j’en veux un 2ème ?

Les + :

  • un frère ou une soeur pour la puce
  • peu de différence d’âge (ben oui pas le choix, j’ai déjà l’âge d’être grand-mère !)
  • + d’allocs (je rigoleeeeeeeeeeeeeeeee)

Les –

  • Pour l’instant, je veux privilégier ma puce, tout lui donner, tout partager et je ne me vois pas m’en occuper moins pour un autre (mais je sais que je réagis comme ça parce que sa naissance est encore toute récente)
  • Avoir encore plus cette sensation de ne rien gérer correctement (oui je sais j’ai des choses à régler).
  • Plus d’enfants = plus de besoins, d’argent pour les études, etc,
  • Retomber dans cette spirale dont j’ai du mal à sortir
  • Mon corps est déjà complètement détruit et je n’arrive pas à me mettre en tête que je ne suis plus physiquement une femme
  • Et puis je ne suis plus de toute première jeunesse !!!!!

Bref, il s’avère que je vois + de points – qu’en + !

Non mais sans blague, pourquoi on veut absolument nous voir pondre tout de suite après le 1er, on est pas des Bonobos !

Ok, j’écris cet article, là tout de suite, je le relirai dans un an, et si ça se trouve, je vais rigoler entre 2 nausées !!! winktongue

 

Et vous, vous en pensez (ou en avez pensé quoi ?), qu’est ce qui a provoqué le déclic ?